Le poème d’Apollinaire[1] que j’ai choisi aujourd’hui me parait exprimer parfaitement l’ivresse. Pas l’alcoolisme mais l’ivresse occasionnelle ou la griserie légère qu’offre le vin.
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Le poème d’Apollinaire[1] que j’ai choisi aujourd’hui me parait exprimer parfaitement l’ivresse. Pas l’alcoolisme mais l’ivresse occasionnelle ou la griserie légère qu’offre le vin.
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Comme un bal de fantômes est, selon son auteur, un « roman-poème en fragments », une « collection de poésies résolument narratives ». C’est aussi un hommage aux poètes et aux amis, aux poètes qui se trouvent, qu’ils soient morts ou en vie, être des amis.
Comme l’indique l’étymologie de ce verbe issu de l’ancien français debatre[1], il s’agit d’abord d’un affrontement. Lorsqu’il s’apaise ou se civilise, il se définit comme l’action de « discuter entre plusieurs personnes dont chacune expose ses arguments ». Mais, très vite apparaissent : « Discuter avec vivacité et chaleur » et « Avoir des discussions très vives avec quelqu’un, se quereller ».
Paul-Jean Toulet a écrit un fort beau poème sur la querelle amoureuse (et beaucoup d’autres très beaux poèmes bien sûr!). Une dispute de courte durée comme l’indique le passé simple du premier vers de Boulogne : « Boulogne, où nous nous querellâmes ».