
Léopold Sédar Senghor à l’Université de Salamanque
Cette année, le printemps se mêle à l’hiver et la neige aux bourgeons. C’est pourquoi j’ai choisi, juste après les « neiges d’antan » de François Villon, de tenter de faire venir la douceur avec un poème de Léopold Sédar Senghor.