Cette année, le printemps se mêle à l’hiver et la neige aux bourgeons. C’est pourquoi j’ai choisi, juste après les « neiges d’antan » de François Villon, de tenter de faire venir la douceur avec un poème de Léopold Sédar Senghor.
Cette année, le printemps se mêle à l’hiver et la neige aux bourgeons. C’est pourquoi j’ai choisi, juste après les « neiges d’antan » de François Villon, de tenter de faire venir la douceur avec un poème de Léopold Sédar Senghor.
C’est à La Ballade des dames du temps jadis, le plus connu des poèmes de François Villon, que me fait toujours penser la neige. Et, comme la plupart d’entre vous, j’ai donc eu l’occasion d’y penser récemment.