Les pluies de ce mois de juin sur Paris m’ont rappelé un poème que j’ai écrit en 1995. Pour évoquer la solitude dans la foule des villes, j’ai « utilisé », en quelque sorte, les matériaux de construction de Paris, dont la plupart des pierres sont issues de roches sédimentaires (calcaire, argile, gypse, plâtre…). La nature de ces roches rappelle le va et vient des océans qui, dans le texte, fait écho à la pluie.