Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas tenté de me faire des ennemis. Pour ne pas perdre la main, j’ai décidé de poursuivre l’excellent dictionnaire incomplet et inconvenant de l’ami qui tient Les étoiles dans le caniveau, avec un angle différent. Inutile de dire qu’il est lui aussi bien incomplet puisque centré sur une récente actualité.
Société
Harcèlement
Cette année le harcèlement est comme Marcel, il me harcèle[1]. Alors j’ai décidé de lui consacrer un article.
Contemporain

Pendule du grand père de Boris Vian, maison d’Edmond Rostand (Arnaga).
Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais je ressens une certaine difficulté à définir le mot contemporain.
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Phobie
Le Robert nous a récemment consultés pour choisir, parmi dix mots, le mot de 2016. Au dernier stade de mes informations ce serait islamophobie, qui était notamment en compétition avec pauvrophobie.
Simplification
Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais depuis le choc de simplification, je trouve tout très compliqué.
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Sexe
Cela fait un ou deux ans que je ne me reconnais plus dans le féminisme (j’en ai un peu parlé dans Victimes). J’en suis assez peinée car je me sens toujours féministe. Mais le discours dominant est en discordance avec ce que je crois, ce que j’ai vécu et dans un contraste absurde avec les dangers actuels pour l’humanité toute entière, et particulièrement pour les femmes, de la guerre engagée par le califat.
Paratexte
Alors que l’on s’écharpe sur la refondation du collège au point que je ne sais plus où donner de la tête, j’ai relu le livre d’Emmanuel Davidenkoff, Réveille-toi Jules Ferry, ils sont devenu fous ! Je me souvenais qu’il m’avait beaucoup aidée à me sentir moins seule
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Victimes
Ce mot, porteur du meilleur de nos émotions, l’empathie, et d’un beau projet, aider ceux qui souffrent, me semble avoir été soumis à de telles distorsions qu’il cesse de nous toucher. Un mot, utilisé sans cesse, rabâché, resservi en toute occasion et pour des situations sans comparaison peut-être usé jusqu’à la corde. Et nous revenir en boomerang. C’est le sens de l’article que je vous propose. En choisissant ce mot et cet angle d’approche, je prends le risque de ne pas être consensuelle mais ce n’est pas non plus mon objectif.