
Les débats des primaires m’ont rappelés ce poème de Boris Vian. J’en ai besoin pour sourire après avoir tenté de comprendre des propos confus, vagues, alambiqués, des longues phrases pour ne rien dire.

Les débats des primaires m’ont rappelés ce poème de Boris Vian. J’en ai besoin pour sourire après avoir tenté de comprendre des propos confus, vagues, alambiqués, des longues phrases pour ne rien dire.