
Quand je lis un des poèmes de William Butler Yeats (1865-1939) je suis transportée dans un jardin ou sur un balcon d’où j’ai si souvent observé le vol des oiseaux. De même, tous les vols d’oiseaux contemplés dans le calme d’un soir, et par extension tous les soirs calmes et beaux, me rappellent ce poème. Il y suffit d’un vers : Et d’ailes de passereaux déborde le ciel du soir.